Il n’y a pas que l’industrie de la musique qui doit revoir ses façons de faire, le Vatican aussi.
Malgré le serment, les autorités vaticanes craignent des fuites. La technologie, qui a beaucoup évolué depuis le dernier conclave, il y a 26 ans, menace aussi la confidentialité du conclave. Des appareils ultrasophistiqués d’espionnage peuvent capter les conversations au conclave ou dans la chapelle Sixtine. Un transmetteur minuscule peut notamment être placé dans un stylo, un portable, une prise électrique ou un cierge, voire sous la croix d’un cardinal. Des microphones laser peuvent aussi capter des conversations à 500 mètres de distance. Les experts devront passer les zones de réunion au peigne fin.
Source : Radio-Canada